Buts de la classification des erreurs des élèves :
Informer les élèves sur leur progression -> codes devraient être retranscrits dans le dossier d’apprentissage
Modifier le rapport entre prof et élève -> aller au-delà de la transaction en termes de points mais plutôt s’intéresser à l’apprentissage
Evaluer la complexité de la tâche demandée -> sert de grille d’évaluation et permet de pondérer chaque critère ainsi que la question.
Proposition de code d'Emmanuel Thiran :
Description du code : voir docs annexes.
Utilisation de codes pour indiquer le type d’erreurs réalisées par l’élève, dans la marge de la copie.
Pour les bilans, les codes sont retranscrits dans un cadre sur la page de garde.
Prolongements de cette classification d’erreurs :
Simplifier en regroupant les catégories – en utilisant des codes chiffrés
Communiquer le tableau reprenant les différents critères aux élèves et l’expliquer
Demander aux élèves de répertorier leurs erreurs dans leur dossier d’apprentissage, éventuellement de manière électronique (google forms)
Scanner les bilans (ou du moins la 1ère page) avec le tableau reprenant les codes erreurs.
Proposition de classification de Philippe Godts :
Description : voir powerpoint.
Taxonomie basée sur la grille des savoir-faire (voir programme SEGEC) et sur les verbes opérateurs.
Permet de déterminer la complexité de l'opération mentale nécessaire à la résolution de la tâche.
